lay all your love on me.

tyler white.

easy baby, maybe i'm a liar.

prénom nom complet: white, tyler. plus connu sous le nom de cash machine. ou crésus. au choix. âge, date de naissance: trente-deux. il fêtera ses trente-trois ans très bientôt, le dix juin prochain. origines: pur produit américain. études, métier: directeur financier de la société que dirige son père. statut civil: volage. orientation sexuelle: hétérosexuel. type de résidence: appartement luxueux. traits de caractères: impulsif, arrogant, cynique, responsable, confiant, sociable, compétiteur, protecteur, bagarreur, possessif, drôle. groupe: play hard. crédits: tumblr.

cause you love love love.

Ty n'a jamais manqué de rien. Sa garde-robe a toujours été entièrement composée de vêtements de marque. De son premier body à son dernier achat. Monsieur n'est pas à l'aise avec "les habits du pauvre". ○ Son patronyme lui a toujours permis d'intégrer les meilleures écoles. Toutefois, le jeune homme ne s'est jamais reposé sur ses acquis et s'est débrouillé pour être parmi les meilleurs. ○ "Fidélité" ne fait pas partie de son vocabulaire. Tyler est quelqu'un de très égoïste, les autres passent toujours après lui. Ce que peut ressentir sa fiancée, quand ses lèvres embrassent le corps d'une autre, par exemple ne l'importe que très peu. ○ Le jeune homme n'est pas non plus quelqu'un de loyal. Il n'hésiterait pas à trahir un ami pour servir ses propres intérêts. S'il s'entend toujours aussi bien avec ceux qu'il appelle "ses frères", c'est bien parce que l'occasion de leur planter un couteau dans le dos ne s'est pas encore présentée à lui. ○ Tyler pense que tout lui est dû. Que s'il est arrivé là où il en est aujourd'hui, c'est uniquement parce qu'il a su être meilleur que les autres. Il est prétentieux et ne s'en cache pas. On pourrait croire que, sous cette carapace, se cacherait en réalité un homme blessé, meurtri qui tenterait de se protéger du reste du monde, mais il n'en est rien. Il n'y a pas de carapace. Il n'y en a jamais eu. Il est bien cette ordure qu'il assume être, fièrement. ○ Contrairement à beaucoup d'hommes issus du même milieu que lui, Tyler ne fantasme absolument pas sur ses gouvernantes. Les filles des classes inférieures ne l'intéressent pas. C'est à peine si il les voit. ○ Il est très proche de son père qui est son plus grand modèle. Il n'y a que face à ce dernier qu'il se sent moins bon. Quand Monsieur White est dans la pièce, Tyler n'est plus qu'une ombre. ○ Il entretient une liaison dangereuse avec une jeune femme de dix-sept ans. Gaïa ne fait pas son âge. À ses yeux, elle est une femme comme une autre, pas cette jeune adolescente qu'elle est en fait réellement. ○ Il ne fume pas, pourtant il n'est pas rare de le voir avec un cigare au bord des lèvres. Cela lui donnerait une certaine prestance, selon lui. ○ Comme tout gosse de riche digne de ce nom, Tyler pratique le golf et le tennis durant son temps libre. ○ Il n'est pas tellement complice avec sa sœur. Au contraire, il adore lui mettre des bâtons dans les roues. Cependant, si quelqu'un d'autre que lui a le malheur de faire de causer du tort à Liv, Ty sort les crocs. C'est quelqu'un de très protecteur. ○ Il a eu sa première relation sexuelle à l'âge de quatorze ans. Ce n'était ni beau, ni magique. En fait, c'était même plutôt désagréable. Il lui a fallu un peu plus d'un an pour renouveler l'expérience et apprécier le contact de deux peaux nues. ○ Il pense qu'il a déjà eu une expérience homosexuelle avec son ami de longue date, Clyde. Ce dernier lui a fait croire, que lors d'une soirée arrosée, tous deux avaient passé un certain cap. C'est une aventure dont Tyler a terriblement honte. Ce qu'il ignore, c'est que cette histoire est purement inventée et qu'il n'a jamais touché à un homme nu.

run baby run.

pseudo/prénom: spf. âge, pays: vingt ans, france. présence sur le forum: régulière. avis, dédicace: t'es parfaite, ronda.

type de personnage: inventé. un truc à ajouter?: elephant

"Bienvenue à Burano.", murmura-t-il dans son oreille alors qu'il lui débandait doucement les yeux. C'était ici qu'il avait choisi de faire sa demande. Dans cette ville italienne qui lui rappellerait les couleurs de l'Inde. Elle resta bouche bée, comme émerveillée, face à cette vue imprenable. Et, lui, la dévorait du regard. C'était elle, sa merveille. La jeune femme lui sauta au cou, les yeux pétillants. Dans ces moments-là, il savait qu'il avait fait le bon choix. La demander en mariage, elle. Et pas une autre. Elle, qui avait tout supporté, tant enduré. De son infidélité à ses excès de colère. Elle avait parfois baissé les bras mais n'avait jamais renoncé à lui. Personne au monde n'était plus apte qu'elle à l'aimer. Entièrement. Sincèrement. Il déposa un baiser passionné sur les lèvres charnues de sa belle avant de murmurer dans le creux de son oreille: "Sandhya, épouse-moi." Et sur ces mots, il se libéra aussitôt de son étreinte pour aller chercher, dans la poche de son pantalon, cette petite boîte rouge qui contenait le symbole de leur amour. "J'voulais attendre ce soir et te faire une demande digne de ce nom, m-mais.." Il eut à peine le temps de reprendre sa respiration que la belle indienne l'embrassait déjà. Tyler prit ce baiser pour un "oui". Il ne se souvenait pas avoir été, une fois dans sa vie, aussi anxieux que ce jour-là. Il passa la bague au doigt de sa désormais fiancée, plus heureux que jamais. Son cœur battait la chamade. Il n'y avait plus qu'eux. Envolées les amantes d'un soir. Oubliées les trahisons et les infidélités. Le temps d'un week-end, il n'était plus qu'à elle. Et, à elle seule.

Le choc de ses talons aiguilles contre le parquet en bois était une ode à la sensualité. Il releva la tête pour mettre un nom sur cette démarche envoutante. Rhya Furlane. L'interdit. La saveur du fruit défendu. Il la connaissait depuis le berceau. Il l'avait vue renifler sa morve, étant gamine, rembourrer ses soutiens-gorge, à l'adolescence. Jamais, au grand jamais, Rhya ne s'était présentée comme une éventuelle conquête à ses yeux. Pourtant, aujourd'hui, perchée sur ses talons, il ne désira qu'elle. Il passa la soirée à la scruter, à la déshabiller du regard. À attendre que Clyde tourne le dos pour lui mettre le grappin dessus. Elle n'était pas aussi docile qu'elle le paraissait. Elle lui résista, le fit languir pour ne jamais lui donner cette opportunité. Celle qu'il désirait tant. Celle de l'avoir pour lui seul le temps d'une nuit. Elle se montra différente de toutes celles qu'il avait connu auparavant. Désobéissante. Un brin rebelle. Et ce fut certainement pour cela qu'elle n'en sortit plus de sa mémoire. Désormais, elle le hantait. L'espoir de pouvoir toucher sa peau du bout de ses lèvres le poursuivait jusque dans ses rêves les plus profonds. Puis, ce désir se transforma en passion. Il ne voulait plus juste l'imaginer dévêtue. Il se surprit doucement à leur trouver des centres d'intérêt communs, à rire à chacune de ses blagues, à penser à elle au travail. Elle n'était plus seulement la fille qui lui tenait tête. Elle était ce tourbillon de sentiments inconnus.